jeudi 10 mai 2012

Changer ?!

Les jours passèrent, et j'ai compris que je ne changerais pas... Je m'excuse si j'offense les attentes d'autrui... Je ne peux et je ne veux changer... Arrogant, lunatique et égocentrique, je resterais ainsi, en paix avec moi même... Tel on m'a toujours décrit, et cette description ne me pose aucun problème, elle me convient...

J'arrive pas à faire de sorte que tout va bien quand j'ai plus envie... Tout est superficielle bien fini sans une dimension extraordinaire... Je pense comprendre la différence entre un rêve et une réalité... On m'a toujours dis que c'est bien de rêver, c'est pour améliorer la réalité... J'arrive pas, je rêve pour rêver et je me réveille pour vivre...

On m'a dis que la passion est fini, et on la consumant elle se perd; ça suit parfaitement le premier principe... Et malheureusement c'est bien vrai... Et, je comprends qu'on la consumant, les potentielles se rapprochent de plus en plus jusqu'à l’équilibre et par suite plus rien... c'est devenu un cristal froid à zéro Kelvin .

Pour maintenir cette passion, des esprits vifs vont dire, que j'ai tord et qu'il y a tellement à voir et à partager et a innover et c'est la source même de la flemme... Je dirais que c'est vraie mais ça n'a rien à avoir avec la passion, et encore vous trichez... Fournir tellement, d'effort pour se retenir, pour plaire, pour trouver un nouveau truc pour l'autre, c'est pas de la passion c'est de la torture de soit... Je ne veux pas, je préféré suivre le naturel cours des choses; une fin est toujours attendue pour chaque début...


lundi 16 mai 2011

Ordre - Désordre


Le regard errant à travers les visages, je cherchais la chose. Que chercher sinon que la réponse au besoin immédiat. Le besoin ?

Je m'estompe à ce mot... Je crains sa fatalité...  Cette peur est elle compréhensible ? Est elle régit par notre nature la plus primaire?

Oui, je l'ai sentis avant même d'écrire le premier mot, même avant de tenter de réfléchir...

Un sourire m'était inévitable, je bafouillais notre humanité rien qu'à dire que la peur est notre moteur. Un bref moment a suffit pour que le sourire s'échappe laissant l'espace à l'anxiété progressive.

la peur du besoin qui s'emparait de mon esprit futile, induit à une avalanche de réfractions émergeante de la confusion. Stipuler le besoin, suppose l'existence d'une lois ou encore un axiome originel.  En effet, le besoin ne peut s'exprimer en l'absence des définitions des états vers les quels on s'attends à y transiter.